mercredi 29 décembre 2010

La belle besogne

Nouveau billet à découvrir sur http://www.voircicontre.fr/cuisine/

A tout de suite,
Tit'

jeudi 16 décembre 2010

RIP Blake Edwards

Nouveau billet à découvrir sur http://www.voircicontre.fr/cuisine/

A tout de suite,
Tit'

jeudi 9 décembre 2010

jeudi 2 décembre 2010

mercredi 1 décembre 2010

Derniers mots...

On va dire que c'en est fini, ce sera mieux tout de suite.

Pas de mystère.

Toutefois... Non, je ne vais pas abandonner comme cela. Il y a une suite à cette histoire que j'ai démarré il y a plus de cinq ans maintenant. Seulement, la suite se fera ailleurs, tout simplement.

Je vous en prie, poursuivez...

Cela se passe là : http://www.voircicontre.fr/cuisine

Profitez donc pour mettre à jour vos bloglines en ajoutant dès à présent les trois adresses ci-dessous :

A très bientôt... et revenez sur ces pages quand cela vous plaira, elles resteront à votre disposition tant que les dieux d'l'Internet et Blogger en voudront bien. C'est vrai que j'y étais pas si mal... :)

Tit'

samedi 6 novembre 2010

« J’ai descendu dans mon jardin...» : les résultats

Il y a un peu moins de trois mois, je vous faisais part de ma participation en tant que jury au concours de photographie culinaire réservé aux blogueurs dans le cadre du Festival International de la Photographie Culinaire et avec le partenariat du site 750 Grammes. Ce concours s'est achevé le 15 octobre dernier avec de très belles participations... et quelques publications un peu (beaucoup) à côté de la plaque. A mon grand étonnement. Il y avait en effet une thématique à respecter et ce sont les photographies qui illustraient le mieux cette thématique qui avaient le plus de chance de l'emporter.

« J’ai descendu dans mon jardin... »

Il est temps aujourd'hui de vous révéler le résultat de nos délibérations.
A mes côtés, Isabelle Rozenbaum, photographe culinaire (www.oreille-culinaire.fr et http://www.rozenbaum.com/),  Chef Damien (www.750g.com) et Jean-Pierre Stéphan, président fondateur du Festival.

Quand je vois ce qui suit, je me dis que j'aurais mieux fait de prendre les paris, car j'ai joué le bon quinté ! :-)

1. Émilie du blog Griottes
http://www.griottes.fr/noir



Un ÉNOOORME BRAVO à Emilie pour ses magnifiques tableaux. Elle avait pris un risque, dit-elle. Pas le moins du monde, au contraire. Et cette première place le prouve !... Bon, maintenant..., si Emilie ne sait pas qui inviter pour aller déjeuner chez Alain Passard, je suis son homme ! ;-))

2. Aline du blog My Little Fabric
http://www.mylittlefabric.com/jai-descendu-dans-mon-jardin/


 

Voilà qui est amplement mérité. Aline a réalisé un très beau travail. Il s'en est fallu de peu qu'elle prenne la tête de ce concours... J'en ai également profité pour découvrir son très joli blog. J'y reviens en courant !

3. Parigote du blog Les Carnets d'une connasse de parisienne
http://www.carnetsparisiens.com/2010/10/12/salade-radis-quinoa-noir-courge-champignons/


Ma Chère Connasse Parisienne - Me permettrez-vous de vous appeler par votre sympathique petit nom ? ;) -, c'est là un vote coup de cœur qui vous propulse ainsi à la troisième place de ce concours. Le choix d'une présentation de saison a été judicieux. Et la simplicité de la recette et de ce qu'elle éveillait à mes pupilles/papilles ont fait le reste. Bravo !

4. Ventura Melody du blog Le Boudoir Gourmand
http://www.leboudoirgourmand.fr/recettes-salees/jai-descendu-dans-mon-jardin/


Bravo à Mélody ! L'idée d'un jardin miniature frais et gourmand s'inscrivait parfaitement dans la thématique du concours. Un cadre plus large et une petite mise-en-scène autour de "l'assiette" auraient très certainement permis de marquer des points. Une jolie quatrième place !

5. Anne-Marie Demay du blog Panier de saison
http://www.panierdesaison.com/2010/09/votez-pour-ma-photo-au-concours-de-la-photo-culinaire.html


Bravo à Anne pour cette 5ème place ! Ce panier plein de croquant était semble-t-il tout à l'image de son blog. Une fraîcheur bien vue.

Et voilà, vous savez tout !

La lauréate de ce premier concours gagne un repas pour deux personnes chez Alain Passard, offert par www.750g.com, ainsi qu'un robot Artisan KitchenAid. Emilie se verra également remettre le trophée « Lentille d'or du Prix des Blogueurs culinaires » lors de la soirée de Remise des Prix du Festival, le 9 novembre 2010, à l'Espace Mobalpa (Paris).

Aline et Parigote, respectivement second et troisième prix, seront récompensées par 750 Grammes.

Vous retrouverez les photographies lauréates exposées lors du Salon du Blog Culinaire (http://www.salondublogculinaire.com/) de Soissons les 20 et 21 Novembre prochain.

A très bientôt,
Tit'

lundi 27 septembre 2010

L’automne en douceur...

Je ne l’ai pas vu arriver, je ne l’ai pas entendu entrer. Il a suffit de quelques gouttes de pluie pour que son puissant parfum de terre mouillée des sous-bois pénètre jusqu’à mes narines par la porte entrouverte. Pourtant, il y avait des signes. La fraîcheur que je croyais matinale était encore là à midi sur mes doigts engourdis et ma gorge dégagée. J’aurais dû me couvrir un peu plus pour l’affronter. L’automne.

Tout à coup j’ai eu besoin de me réchauffer. Première flambée de bois sec, les pieds en éventail devant le foyer allumé dans des chaussettes qui montent un peu plus haut sur la jambe. Tout à coup, j’ai eu envie de douceur. Premiers plats d’automne. Rôti de porc au lait, champignons (girolles, morilles, champignons blancs) à la forestière, tarte aux pommes… Rien de plus doux que ce rôti aromatique, dont voici l’histoire.

Rôti de porc au lait aillé et aux épices douces

Ingrédients (pour 6-8 personnes)

1 beau rôti de 1,5 kg de porc fermier roulé et bardé par votre boucher ; 1 litre de lait (entier et cru de préférence) ; 1 dizaine de gousses d’ail non épluchées ; 75 g de mie de pain ; 1 bâton de cannelle ; 1 clou de girofle ; noix de muscade ; sel ; poivre

Marche à suivre

Sortez lait et viande du réfrigérateur au moins deux heures avant de les cuisiner pour les amener à température ambiante.

Plus tard, préchauffez votre four à 160°C.

Dans une cocotte pouvant aller au four, déposez au fond le rôti, les gousses d’ail non épluchées, le bâton de cannelle et le clou de girofle. Arrosez avec le lait. Salez, poivrez et râpez une quantité suffisante de noix de muscade pour aromatiser le lait et la viande. Mettez au four et laissez cuire lentement – mais sûrement – à chaleur douce pendant 1h20.

Retournez le rôti toutes les quinze minutes pendant la cuisson. Surveillez bien que le lait ne déborde pas.

Lorsque la viande est cuite, égouttez-la et réservez-la dans du papier d’aluminium. Avec le bouillon de lait, réalisez une sauce. Retirez le bâton de cannelle et le clou de girofle, puis passez dans un bol haut quelques louches de lait parfumé et les gousses d’ail que vous écrasez dans un chinois. Ajoutez la mie de pain dans le lait et mixez longuement jusqu’à ce que le mélange devienne onctueux et mousseux. Rectifiez l’assaisonnement si besoin.

Servez immédiatement de fines tranches de rôti arrosez de sauce et régalez-vous. Accompagnez la viande de champignons à la forestière, sautés dans une grosse noisette de beurre, et de petits paniers de haricots verts simplement bouillis ou cuits à la vapeur.

Pour les allergiques, n’ayez pas peur, l’ail n’emporte pas votre palet. Les arômes de cette sauce sont doux et délicats.

Là-dessus, pour donner de la fraîcheur à cet ensemble gourmand, buvez un Bourgogne blanc avec un peu de caractère (fruits secs et miel), comme un Bouzeron par exemple, ou, faites comme moi ce dimanche, servez un fantastique vin de table blanc issu d’un ancien cépage corse, Bianco Gentile 2009, cultivé par Antoine Arena du côté de Patrimonio. Au nez : mirabelle, coing, noisettes ; en bouche : de la rondeur et de la soie. De saison, donc !

Piqûre de rappelle ! N’oubliez pas qu’il est encore temps de participer au concours organisé dans le cadre du second Festival International de la Photographie Culinaire pour le Prix du Blogueur Culinaire. En tant que jury de ce concours, j’aurais le plaisir de choisir les photographies gagnantes auprès d’Isabelle Rozenbaum, photographe (L'Oreille Culinaire), et Chef Damien (750g). Pour participer, rien de plus simple, vous avez jusqu’au 15 octobre 2010 pour nous faire parvenir vos participations, selon les modalités expliquées dans le billet précédent. En cas de difficulté d’acheminement de vos réalisations, n’hésitez pas à contacter directement les organisateurs de ce concours sur le site de 750g (Marie-Rose : mrdomingues [at] 750g.com). Ils valideront ainsi vos participations.

A bientôt,
Tit'

mercredi 18 août 2010

« J’ai descendu dans mon jardin...»

Certes, je suis fort fort silencieux, voire fort fort absent, mais je n'en suis pas moins pas très loin, juste derrière vous, là. C'est moi qui lit au dessus de votre épaule, voui voui. Je sais, c'est désagréab', mais c'est comme ça et pis c'est tout. En attendant, rien ne vous empêche de participer activement au second Concours International de Photographie Culinaire. J'ai été en effet convié par Chef Damien (www.750g.com), à participer à ce concours en tant que jury pour le Prix des Blogueurs Culinaires.

J'attends de vous que vous vous éclatiez pour faire briller mes papilles et baver mes pupilles... ou l'inverse, je sais plus, tenez ! ;)

Comment participer à la compétition ?

Le Prix des Blogueurs Culinaires récompensera l'internaute ayant produit la plus belle image d'une recette sur le thème du végétal dans l'assiette. « J’ai descendu dans mon jardin...», cela vous dit quelque chose ?

Le blogueur devra déposer sa photographie et sa recette (3 maximum par blogueur) sur son blog et sur le compte Facebook de 750 Grammes en incitant les internautes à commenter sa photographie.

Le concours sera ouvert du 10 Août au 15 octobre 2010.

Le choix du lauréat ?

Les dix photographies ayant obtenues le plus de commentaires sur Facebook seront finalistes.

Dix autres photographies seront sélectionnées pour leur qualité artistique par un jury placé sous la houlette d'Isabelle Rozenbaum, photographe culinaire (voir www.oreille-culinaire.fr et http://www.rozenbaum.com/), de Chef Damien du site culinaire www.750g.com, de Jean-Pierre Stéphan, président fondateur du Festival International de la Photographie Culinaire et du blogueur culinaire Tit' du blog Num Num, Birdy! [ça, c'est bibi !].

Parmi ce total de vingt photographies en compétition, dix seront choisies par ce même jury, dont celle du lauréat du Prix des Blogueurs Culinaires.

Les Prix

Le lauréat gagnera un repas pour deux personnes chez Alain Passard, offert par www.750g.com, un robot Artisan KitchenAid, et se verra remettre le trophée « Lentille d'or du Prix des Blogueurs culinaires » lors de la soirée de Remise des Prix du Festival, le 9 novembre 2010, à l'Espace Mobalpa (Paris).

Les second et troisième prix seront récompensés par 750 Grammes. La photographie ayant reçue le plus grand nombre de commentaires sera aussi récompensée.

Les dix photographies lauréates seront exposées lors du Salon du Blog Culinaire de Soissons les 20 et 21 Novembre 2010.

En savoir plus

Pour plus d'informations, www.festivalphotoculinaire.com

A très bientôt,

Tit'

mardi 15 juin 2010

Les cerises de Morangis

J’avais disparu. Hop, envolé le Oiseau ! J’avais laissé mes pots, mes marmites et ma gourmandise dans, je ne sais, quel état j’erre. Je vous abandonnais avec une promesse de retour très bientôt et l’hiver et ses frimas qui tardaient à partir refroidissaient mon enthousiasme. Le printemps est maintenant presque fané, alors que l’été peine à exister. Je vous néglige et je ne reviens que parce que j’ai encore la langue toute cramoisie d’un plaisir que je veux partager avec vous.

Dimanche, j’ai cueilli des cerises de Morangis. Certains diront « à Morangis », parce qu’il n’est pas d’espèce répertoriée, endémique ou connue sous cette appellation et parce que je les ai ramassées à Morangis. Cependant, je décrète que ces cerises sont belles et bien des cerises de Morangis, rapport au fait que je suis fin connaisseur de la chose, comme tout oiseau-bouffeur-de qui se respecte et qu'elles ont un goût unique, un goût de Morangis. Donc, dimanche, j’ai cueilli des cerises de Morangis.

Dimanche – pas celui-ci, mais peu importe, le temps est une notion toute relative –, j’ai ramassé quelques belles hampes de fleurs blanches de sureau noir de Longpont. Certains – les mêmes, des emmerdeurs pour sûr ! – diraient « à Longpont », parce qu’il n’est pas d’espèce de sureau noire endémique à Longpont qui pourrait lui donner son nom. Cependant, je décrète que ces fleurs étaient issues de deux beaux pieds de sureau de Longpont, rapport au fait que je dis rien mais j’en pense pas moins, je fais ce que je veux !...

Dimanche, en rentrant de Morangis à Longpont (et non l’inverse, sinon c’est pas possible), j’ai planté mes doigts dans la chair tendre de cette petite cerise juteuse et sucrée à souhait, pour en retirer le noyau, ce noyau qui trouvait si souvent le chemin de mon gosier autrefois, lorsque je passais mes après-midis dans le magnifique cerisier de ma marraine, rue de la Paix, les pieds bien calés sur l'avant-dernier barreau de l’échelle à me bâfrer de bigarreaux Napoléon qui resteront longtemps mes cerises préférées. De cette chair si belle et si sombre, j’en ai fait des confitures (Tiens, donc ?!) qui, mêlées au sirop de sureau de fraîche date, ont pris une ampleur en bouche assez incroyable. A moi la délicieuse confiture !...

Confiture aux cerises et au sirop de sureau

Allégée en sucre, cette confiture ne se garde pas éternellement. A consommer rapidement et à conserver au frais en attendant d’être dégustée. En même temps, je suis convaincu qu’il faudra aussi peu de temps pour la dévorer que de temps pour la préparer.

Ingrédients

500 g de chair de cerises sucrées et sombres ; 250 g de sucre roux ; 1 jus de citron ; 3 CS de sirop de sureau maison ; 1 CC d’agar-agar en poudre

Marche à suivre

Jour 1 – Lavez et essuyez les fruits. Coupez-les en deux et dénoyautez-les. Dans un grand bol en verre, mélangez les cerises, arrosez du jus du citron avec le sucre et les cuillères à soupe de sirop de sureau. Laissez macérer au frais pendant une heure, puis mélangez bien. Dans une casserole à bords hauts, versez la préparation et portez-la légèrement à ébullition. Coupez le feu. Réservez.

Jour 2 – Le lendemain, portez la préparation à ébullition. Avec un thermomètre à sucre, contrôlez la concentration du sirop à 105°C. Écumez. Une fois la température atteinte, ajoutez la poudre d’agar-agar mélangée à une cuillère de sucre, puis portez à petit bouillon pendant 2 minutes. Mélangez bien et versez dans des pots bien propres que vous retournerez une fois fermés pour stériliser « à l’anglaise ».

Oh, attendez, pas si vite, je ne vous ai pas raconté la fin de l’histoire !... Parce qu’il y a une histoire et que dans toute histoire, il doit y avoir une fin. Quoique. Là, je ne suis pas certain que celle-ci s’achève de sitôt...

Dimanche, je cueillais des cerises de Morangis et j’en faisais des confitures, mais...

Rapidement, j’ai regretté. J’ai vu le tableau d’ici : je n’en avais pas pris assez et cette merveille partirait vite, très vite. Pas d’autre choix : il fallait retourner à la cueillette ! Ce matin, ni une ni deux, je m’échappe jusqu’à Morangis, le panier sous le bras et je pénètre en catimini sur le terrain de l’heureux propriétaire de ces arbres chargés de fruits. Il a bien voulu me céder l'avant-veille à contrecœur quelques uns de ces bijoux, pas sûr qu’il accepte de sacrifier une fois de plus son bien à un oiseau aussi tordu que moi. Et pis, chemin faisant, je me dis qu’il en a bien assez, que tous les arbres ne sont pas encore mûrs, qu’il ne s’apercevra pas de la disparition de deux ou trois pauvres (kilos de) cerises. Après tout, les perruches s’en chargent volontiers à ma place et elles, on ne leur dit rien. J’étais à peine monté à l’échelle, la tête dans le feuillage comme on l’a dans les nuages quand on est tout heureux, et la bouche qui crachait les noyaux par salves, que je perçus un mouvement quelques mètres plus bas. Je vis alors s’avancer un mastodonte : mi homme mi-démon, la carrure impressionnante, la rage au coin de la bouche, le regard chargé d’éclairs rouge sang, l’animal paraissait prêt à en découdre avec le pillard de basse-cour que je suis. Moi, pas fol le oiseau, je me carapate vers le sommet de l’échelle, j’escalade, j’accroche une branche et me pose, juste le temps de voir disparaître l’escabeau et mon panier de cerises sous les invectives du pauvre homme que je dévalisais, à l'entendre. Tout tourneboulé de m’être fait ainsi pincer la main dans l’sac, comme un (oiseau) bleu, je tachais de me remettre vite de mes émotions pour trouver comment fuir.

Pendant ce temps, cet ours mal léché de propriétaire terrien (appelons-le Jean-Luc, car le prénom Jean-Luc sied bien aux ours d’autant plus quand ils sont mal léchés, propriétaires et terriens), a ouvert la grille, a sifflé vaguement avec ses doigts, et j’ai pu apercevoir débouler en trombes depuis l’autre côté du verger, un autre mastodonte, un canidé celui-là, qui s’est posté sous l’arbre, sans un aboiement ni un grognement, sans montrer les dents, mais avec un regard si perçant qu’il m’aurait transformé en pierre si j’avais osé le croiser et qui en disait suffisamment long sur ses intentions si j’entreprenais le moindre geste vers la porte de sortie. Malgré ma confusion et les plus plates excuses que je lançais à l’intention du Jean-Luc, elle – car le chien est une chienne – me guettait et n’en démordait pas !

Maintenant, j’aimerais bien pouvoir descendre, hein, mes loulous, hein, Jean-Luc, tu vas z’être sympathique. Rhooo, allons don', c’était rien qu’une petite blaguounette, quelques petites cerises de rien du tout et pis valààà, hinhin-hinhin-hinhin* !... [*RIRE JAUNE]

A très bientôt… enfin, si je m’en sors ! ;)
Tit'