Chez Tit' (KKVJ : Ma Cuisine Vue du Ciel)
V'là, j'cuisine lààà ! [Cliquez sur l'image pour zoomer]
Vous l'voyez pas trop là, mais c'est dimanche matin et j'suis dans ma cuisine (nu et en chaussettes) en train d'préparer le p'tit déj' : du pain frais, des macarons, des biscotti, des confitures maison, des financiers, du cake aux pralines, de la brioche, des muffins, du thé, du café, des céréales, des yaourts, de la faisselle, du jus d'orange pressée, etc. Y'a tout c'qui faut pour démarrer une bonne journée à rien glander !...
Heu... Non, un p'tit déj' comme ça, c'est pas chez moi. Enfin, pas souvent. Jamais même. Je m'ai un peu trompé... Hum ! En fait, pour goûter à tout cela, il faudra d'abord vous lever tôt, très tôt, il fera nuit certainement, puis il faudra prendre le train, le TGV précisément, pendant quelques heures, et descendre vers le sud, là où il y a du soleil, là où il y a des montagnes. Il faudra aller... chez la reine Mercotte.
Non, me r'mercie pas, Mercotte, c'est bien normal. Disons que d'puis que t'as publié ce billet (il y a un siècle !), j'me réveille chaque matin plein d'espoir de trouver un p'tit déj' comme çuilà sur ma table. J'ai beau l'rêver très fort, l'espérer très fort, y's'réalise pô mon rêve !...
Bon, j'sais c'qui m'rest'à faire : me lever tôt, très tôt, quand y'fait nuit encore, puis prendre le train, le TGV précisément, pendant quelques heures, et descendre vers le sud, là où qu'y'a du soleil, là où qu'y'a des montagnes, etc. et... ENLEVER MERCOTTE ! Et sa cuisine avec, et sa batterie de vaisselle avec, et son four... non, SES fours, SES MAPs, ses... Heu... Tout bien réfléchit, c'est un peu contraignant comme projet. L'idéal, ce s'rait que j'te séquestre chez toi, hein ? Qu'est-ce t'en penses ? Et pis je fermerais la porte à ta (non moins charmante et célèbre) intruse de voisine, qui s'incruste pendant qu'on tourne un p'tit reportage télé-local sur toi, pour être bien tranquille avec toi...
Mouaif... J'te sens pas trop convaincue là, Mercotte. Et pis j'me dis qu'la partie n'est vraiment pas gagnée. J'crois que j'vais abandonner ce projet, finalement. Vais rester chez moi. Bien au chaud. Au sec. Pénard. J'vais continuer à naviguer pépère sur la food-blogosphère francophone. Continuer à rêver sur ce p'tit déj de malheur rêve...
Héhéhé ! ;o)
Aller, à très bientôt (et merci Calou pour cette amusante idée),