lundi 27 novembre 2006

Chez Tit' (KKVJ : Ma Cuisine Vue du Ciel)

V'là, j'cuisine lààà ! [Cliquez sur l'image pour zoomer]


Vous l'voyez pas trop là, mais c'est dimanche matin et j'suis dans ma cuisine (nu et en chaussettes) en train d'préparer le p'tit déj' : du pain frais, des macarons, des biscotti, des confitures maison, des financiers, du cake aux pralines, de la brioche, des muffins, du thé, du café, des céréales, des yaourts, de la faisselle, du jus d'orange pressée, etc. Y'a tout c'qui faut pour démarrer une bonne journée à rien glander !...

Heu... Non, un p'tit déj' comme ça, c'est pas chez moi. Enfin, pas souvent. Jamais même. Je m'ai un peu trompé... Hum ! En fait, pour goûter à tout cela, il faudra d'abord vous lever tôt, très tôt, il fera nuit certainement, puis il faudra prendre le train, le TGV précisément, pendant quelques heures, et descendre vers le sud, là où il y a du soleil, là où il y a des montagnes. Il faudra aller... chez la reine Mercotte.

Non, me r'mercie pas, Mercotte, c'est bien normal. Disons que d'puis que t'as publié ce billet (il y a un siècle !), j'me réveille chaque matin plein d'espoir de trouver un p'tit déj' comme çuilà sur ma table. J'ai beau l'rêver très fort, l'espérer très fort, y's'réalise pô mon rêve !...

Bon, j'sais c'qui m'rest'à faire : me lever tôt, très tôt, quand y'fait nuit encore, puis prendre le train, le TGV précisément, pendant quelques heures, et descendre vers le sud, là où qu'y'a du soleil, là où qu'y'a des montagnes, etc. et... ENLEVER MERCOTTE ! Et sa cuisine avec, et sa batterie de vaisselle avec, et son four... non, SES fours, SES MAPs, ses... Heu... Tout bien réfléchit, c'est un peu contraignant comme projet. L'idéal, ce s'rait que j'te séquestre chez toi, hein ? Qu'est-ce t'en penses ? Et pis je fermerais la porte à ta (non moins charmante et célèbre) intruse de voisine, qui s'incruste pendant qu'on tourne un p'tit reportage télé-local sur toi, pour être bien tranquille avec toi...

Mouaif... J'te sens pas trop convaincue là, Mercotte. Et pis j'me dis qu'la partie n'est vraiment pas gagnée. J'crois que j'vais abandonner ce projet, finalement. Vais rester chez moi. Bien au chaud. Au sec. Pénard. J'vais continuer à naviguer pépère sur la food-blogosphère francophone. Continuer à rêver sur ce p'tit déj de malheur rêve...

Héhéhé ! ;o)

Aller, à très bientôt (et merci Calou pour cette amusante idée),
Tit'

lundi 20 novembre 2006

Le Paing à la Ciboulette

Miss Gally réitère !

[Cliquez sur l'image pour zoomer] :

J'aimeuh le paing
Hihihi !

A bientôt,
Tit'

samedi 18 novembre 2006

Velouté Douceur aux Epinards

Repas paresse du vendredi soir pour une ou deux personnes lasses d'une journée bien active...

Dans une cocotte, chauffer doucement 2 cuillères à soupe d'huile d'olive.
Verser le contenu d'un sachet de 450 g. de pousses d'épinards. Mélanger. Laisser suer jusqu'à coloration.
Verser 1 petit verre d'eau. Emietter 1/2 bouillon bio de volaille ou de légumes. Ajouter quelques tours de moulin de poivre noir. Cuire 5 minutes après ébullition en mélangeant souvent.
Ajouter 2 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse, 1 cuillère à soupe de fécule de pomme de terre, 100 g. de feta 100 % pur brebis (dont la date limite de consommation a expirée depuis belle lurette). Mixer le potage. Ajouter éventuellement du poivre. Ne pas saler.
Servir immédiatement pendant que c'est chaud !


Bon appétit !
Tit'

jeudi 16 novembre 2006

Des bienfaits du chOOcOOlat sOOuisse

Pas l'moral, mais pas l'moral du tout le Tit' ce soir. Un semblant de dorsalgie, genre syndrôme de Tietze, qui n'en finit pas de me faire faire la grimace à chaque mouvement tordu, beaucoup de fatigue surtout à cause de p*** d'insomnies dont j'aimerais qu'elles me passent. Rien à voir avec lui et avec son histoire, mais je me sentais aux pieds des semelles de plomb, aussi lourdes que celles d'Oskar Shell, jeune new-yorkais de 9 ans, mon compagnon de voyage du moment, inventeur, entomologiste amateur, épistolier, francophile, pacifiste, consultant en informatique, végétalien, origamiste, percussionniste, astronome amateur, collectionneur de pierres semi-précieuses, de papillons morts de mort naturelle, de cactées miniatures et de souvenirs des Beatles de son état, un vraiment drôle de p'tit gars qui boit du café, parce que ça fait retarder la croissance, donc ça retarde la mort et dont je ne sais encore trop quoi penser. Extrêmement fort et incroyablement près, le dernier roman de Jonathan Safran Foer, offert par mon adorable petite soeur, est un livre étrange, habité par des personnages peu communs, ni passionnants, ni ennuyeux. Je ne sais pas pourquoi, mais je le trouve très attachant. Bref... Ce n'est pas le sujet de ce billet, mais s'il vous prend l'envie de lire l'un des premiers récits littéraires traitant des évènements du 11 septembre 2001 (après ma critique du fim Vol 93, vous aurez compris que ce sujet me touche), ne vous gênez surtout pas, ne soyez pas effrayé(e) par cette curiosité littéraire qui vaut sincèrement le détour par l'émotion qu'elle dissémine en dilletante.

Pas l'moral, donc. J'en étais là avec mes idées noires en rentrant chez moi ce soir. Je me déchausse, me désape, enfile mes chaussons, me lave les mains, j'embrasse mes petits miens, j'embrasse ma grande mienne, j'esquisse un sourir qui ne dissimule en rien ma lassitude. Ma Tendre me dit : "Tu as reçu un paquet". Un paquet ? Je n'attends aucun paquet. Sur la table du salon, une enveloppe cartonnée, joliment timbrée. Ma première pensée : ce courrier vient d'ailleurs. Cette idée me met un peu de baume au coeur. Quelque part, loin, très loin peut-être, quelqu'un a pensé à moi. Curieux, je regarde l'enveloppe de plus près. Les trois timbres indiquent :"HELVETIA 50", "HELVETIA 300", "HELVETIA 100". Je manipule l'enveloppe : elle contient un objet assez léger, rectangulaire, d'une épaisseur de 5 à 7 mm me semble-t-il à première vue. Et là... TILT ! TILT ! TILT ! Véro ! DélimOOn ! La tablette de chOOcOOlat Cailler si gentiment offerte pour un tout petit service de rien du tout ! OOhlala, que c'est aimable à toi, VérOO ! Tu n'imagines même pas le p'tit bonheur tout simple que cela m'a apporté. Je me suis senti tellement mieux tout à coup. J'ouvre donc mon enveloppe. A l'intérieur, une tablette de chocolat noir Frigor (le MUST !) avec un p'tit mot fort sympatoche.


Intriguée, Ma Tendre veut tout savoir de cette intriguante histoire -que je vous invite à (re)découvrir sur le (si beau) blog de Véro (http://delimOOn.wordpress.com)- mais elle veut surtout me piquer goûter tout de suite à cette tablette au si bel emballage mais pas du tout écologique (pas bien Monsieur Nouvel, pas bien). M'enfin, on n'a même pas encore mangé ?! Pas grave, mon poulet, faut goûter, sait-on jamais, desfois que la tablette ne soit pas bonne. J'ouvre, j'arrache, je croque !

Voilà. J'avais pas l'moral (si bien que j'ai tout bonnement fait la fête à c'te tablette), mais quelle surprise extrêmement fOOrte et incrOOyablement adOOrable !

Merci, merci mille fois Véro ! Ton p'tit présent d'outre-alpes me va droit au cOOeur. Lors de mon prochain séjour breton, je penserais à toi...

A bientÔÔt,
Tit'

mardi 14 novembre 2006

Compote Pomme Poire Courge Butternut et Cidre, Crumble Blé Noir et Gingembre

Pas fastoche fastoche de photographier un crumble, hein ! C'est pas l'genre de plat qui s'laisse aisément prend'en photo. Y s'rait plutôt du genre rebelle, si vous voyez c'que j'veux dire... Un crumble, c'est un peu comme un adolescent boutonneux qui tire la tronche, pass'que Manman l'oblige à poser à côté d'Mamie Gâteau et d'son dentier pour la Noël et... Heu... Mouaif ! J'me rends compte que c'est un rien ragoûtant c'que j'vous raconte là. Et pis inutile avec ça. Non, si j'veux qu'vous lisiez c'billet jusqu'au bout, il faut peut-être que j'm'arrête et que j'tienne des propos plus alléchants. Alors...

Voici la recette (une de plus !) d'un crumble géant de la mort qui tue sur une compote de mille millions de mille sabord de tonnerre de Brest qu'elle est trop bonne !...

Mouaif. Pas mieux. On se contente de cela ou on se passe d'intro pour aller droit au but, OK ?


La recette de la compote pomme, poire, courge Butternut et cidre :

  • 1 kg de pommes Elstar
  • 2 poires
  • 500 g de courges Butternut
  • 1 petit verre de cidre brut
  • 75 g de sucre roux
  • 1 bâton de cannelle

  • Eplucher et épépiner les pommes et les poires. Eplucher la courge Butternut. Couper les fruits en cubes et mettre à cuire à feu doux dans une grande cocotte avec le verre de cidre, le sucre roux et le bâton de cannelle. Cuire 10-15 minutes, jusqu'à ce que les fruits soient réduits en compote. Retirer le bâton de cannelle. Mixer selon la texture désirée. Réserver.


    La recette du crumble à la farine de blé noir et au gingembre :
  • 200 g de farine de froment
  • 25 g de crème d'avoine
  • 75 g de farine de blé noir
  • 225 g de beurre demi-sel
  • 180 g de cassonade
  • 1/2 CS de cannelle en poudre
  • 1/2 CS de noix de muscade râpée
  • 1 CS de gingembre en poudre

  • Préchauffer le four à 200°C.
    Dans un grand saladier, tamiser les farines et la crème d'avoine. Ajouter la cassonade, la cannelle en poudre, la noix de muscade râpée, le gingembre en poudre. Couper le beurre demi-sel en petits cubes et ajouter au mélange sec. Pétrir du bout des doigts, jusqu'à obtention d'un pâte granuleuse.
    Verser la compote au fond d'un grand plat et émietter la pâte à crumble sur le dessus. Enfourner pendant 25 minutes. Baisser éventuellement le four à 180°C.
    Sortir du four, laisser tiédir et déguster... Non, D-E-G-U-S-T-E-R !


    Bon appétit !
    Tit'

    mercredi 8 novembre 2006

    Soupe Parmentière huîtres, morilles et lard croustillant

    Et c'est là qu'on se rend compte, quand vient le froid, qu'il n'y a rien de mieux pour nous rasséréner qu'une bonne soupe bien chaude. Et c'est là qu'on se rend compte qu'il fait nuit plus tôt et que prendre un plat en photo devient vraiment une tache ardue pour l'amateur qui ne possède pas forcément l'équipement adéquat. Et c'est là qu'on se rend compte que le lard grillé n'est pas hyper hyper photogénique, qu'une huître sans sa coquille non plus, qu'une morille noyée dans la soupe guère mieux, bref que ce plat n'était pas des plus aisé à prendre en photo... Mais, je vous rassure, la photo du plat n'est pas une fin en soi, le but de ce billet est de vous apporter un peu de châleur à vos coeurs réfrigérés avec cette recette de soupe parmentière revisitée.

    Une soupe parmentière, quoi qu'est-ce ? A la base, il s'agit d'une fondue de poireaux et de pomme de terre qu'on allonge avec de l'eau, que l'on mixe éventuellement, et que l'on accompagne d'une belle tranche de lard. Une belle soupe de terroir et de saison !

    L'adaptation, je la dois une fois de plus à mes Carnets de Recettes du magazine Côté Ouest. J'ai toutefois agrémenté cette parmentière à ma façon.

    Soupe Parmentière huîtres, morilles et lard croustillant

    Ingrédients (pour 2-3 personnes)
    4-6 tranches fines de lard fumé400 g de pommes de terre
    1 gros poireau1 échalotte
    10-12 morilles séchées (ou fraîches)1 bouquet de ciboulette
    500 ml d'eau50 ml de crème fleurette
    20 + 5 g de beurre demi-sel12 huîtres bretonnes
    fleur de sel, poivre 

    Faites tremper les morilles séchées dans un bol d'eau tiède. Lavez, épluchez et émincez grossièrement le poireau. Epluchez l'échalotte et émincez également. Epluchez les pommes de terre et coupez-les en morceaux. Lavez, essuyez et ciselez la ciboulette. Brossez et ouvrez les huîtres, jetez la première eau avec les coquilles et réservez la chair des huîtres dans un bol ; bien fraîches, les huîtres vont renouveler leur eau rapidement. Faites fondre le beurre dans une cocotte et mettez à suer le poireau et l'échalotte émincés, sans les laisser dorer. Ajoutez les pommes de terre en morceaux, l'eau, les morilles réhydratées et égoutées, mélangez et laissez cuire pendant 20 minutes à couvert sur feu doux.

    En fin de cuisson, retirez les morilles, mixez la soupe de poireau et de pomme de terre, puis ajoutez les morilles, la crème, la ciboulette ciselée. Salez, poivrez. Portez la parmentière à ébullition et réservez.

    Filtrez l'eau des huîtres avec une étamine. Portez l'eau à ébullition dans une casserole et pochez les huîtres pendant 1 minutes. Retirez les huîtres et réservez-les. Mélangez la parmentière avec l'eau des huîtres.
    Faites dorer les tranches de lard fumé à la poêle avec un peu de beurre, jusqu'à ce qu'elles soient croustillantes. Egouttez dans du papier absorbant l'excédent de graisse.

    Répartissez la soupe dans des assiettes creuses, disposez les huîtres et le lard croustillant. Servez aussitôt.

    Bon appétit !
    Tit'

    samedi 4 novembre 2006

    Muffins aux Canneberges (Fin de la Prise d'Otages)

    Allons bon, je me rends. Je vous en prie, drapeau blanc, je ne suis pas armé, ne tirez pas ! Je ne serais pas cruel plus longtemps, je libère mes otages et je vous dit tout.


    Il y a quelques jours, vous vous souvenez, je dévorais sous vos yeux le dernier muffin aux canneberges que j'avais concocter pour l'Halloween des enfants. Pour me faire pardonner, je peux bien vous donner la recette que l'Inspecteur Colombo... pardon, que Madame l'Inspectrice Raymonde Colombo a découverte. Après enquête et grâce à l'aide de Madame la Détective Mercotte, il s'est avéré que les accusations qui pesaient contre la principale accusée, Fred, étaient nulles et non avenues. Elle n'était en rien coupable d'espionnage industriel. La voici innocentée.

    Ce matin, je baisse ma garde et... je déballe toute l'affaire.

    La recette des muffins aux canneberges m'a été librement inspirée par la recette des muffins aux myrtilles, tirée d'un joli ouvrage de l'école Le Cordon Bleu, et publié chez Könnemann, consacré aux muffins.

    La recette des muffins aux canneberges (pour 6 gros muffins) :

  • 400 g de farine de froment
  • 100 g de cassonade
  • 100 g de canneberges (ici séchées)
  • 2 oeufs
  • 225 ml de lait
  • 125 g de beurre demi-sel
  • 1 CC rase de levure chimique
  • 2 CS de sirop de grenadine (Monnin)
  • 1 CC bombée de graines de pavot


  • Préchauffer le four à 210°C et graisser légèrement une plaque à muffins.
    Mélanger les ingrédients secs dans un grand saladier : tamiser la farine et la levure, puis ajouter le sucre, les canneberges et les graines de pavot. Creuser un puits au centre.
    Dans un bol, fouetter les oeufs avec le lait tiède et la grenadine (qui donne une jolie couleur rose à la préparation). Faire fondre le beurre au micro-ondes ou à la casserole.
    Mélanger les ingrédients secs aux ingrédients liquides, en incorporant le beurre fondu après coup. Ne pas trop travailler la pâte, elle doit être légèrement grumeleuse.
    Verser la pâte à la cuillère dans les moules à muffins en ne les remplissant qu'au 3/4. Réserver au frais environ 2 heures pour obtenir une belle bosse sur le dessus des mufins à la cuisson ou enfourner directement pendant 30 minutes (35-40 minutes en cas de réfrigération).
    Démouler les muffins 10 minutes après la sortie du four et laisser refroidir sur une grille.


    Voilà. Je crois que vous savez tout, Monsieur le Président. Mesdames et Messieurs les jurés peuvent se retirer pour délibérer...

    Bon appétit !
    Tit'

    mercredi 1 novembre 2006

    Prise d'Otages ou Sus à l'Espionnage Industriel

    Bonjour à tous,

    Le moment est grave. Très grave. Très très grave. Que dis-je, extrêêêmement gravissime ! Car je vais faire de vous, malgré vous, mes otages. Pas la peine d'appeler le GIGN pour autant ou d'alerter le petit Nicolas et toute sa clique, tout ça c'est de la faute de Fred et c'est donc à elle qu'il faut vous en prendre si je refuse catégoriquement aujourd'hui de vous révéler la recette de cet adorable (et non moins délicieux) muffin :


    Pour tout comprendre : explication...

    Hier, oui, je fus bien cruel avec vous, je l'avoue. MEA CULPA, MEA CULPA, MEA CULPA. Mais s'il y a bien un jour où je puisse être cruel sur cette planète, c'était bien hier. L'affreux Tit' a sévi et s'en repent. J'allais cependant et dès aujourd'hui vous présenter ma recette de muffins aux *** quand j'ai lu le commentaire de Fred qui m'a laissé sans voix.

    Cette chipie a écrit :

    Je reviens de par chez toi. J'ai passé toutes les poubelles au peigne fin. J'ai trouvé l'emballage orange. Grâce à mon spectromètre de masse j'ai réussi à trouver tous les ingrédients de ta recette, avec les proportions. J'ai fait moi même des muffins (ils étaient fort délicious ma fois). Je les ai tous mangés, il n'en reste plus une miette et le chien à bouffé la recette... tant pis, je la collerai l'année prochaine !!!!

    Quoi ?! Comment cela ?! Les poubelles renversées et vidées dans le local, c'était toi ? Quoi ?! Comment cela ?! Me voilà pillé, dépouillé, désarçonné de mon bien le plus précieux ?! Au voleur ! Au voleur ! A l'assassin ! Au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné, on m'a coupé la gorge, on m'a dérobé ma cassette recette ! Et c'est Fred, cette affreuse jojotte de cuistot de parigot (parigot, tête de veau, de toute façon, l'est même pas "Frais !" ton poisson) qui est la cause de mes malheurs !... Mais, c'est tout bonnement de l'espionnage industriel ! Et ça, c'est pas du juste !

    Bref, si vous voulez que la recette de ce muffin soit publié un jour, il faudra que Fred vous révèle ce qu'elle a découvert dans mon emballage orange.

    Fred, je te lance un ultimatum : dis nous tout... que je me marre ! Si t'as tout juste, j'te paie un coup à boire. Hihihi !
    Tit'